DE LA NATURE DE DIEU/ La Dualité.3

DE LA NATURE DE DIEU
La DUALITE. 3 
Mise à jour en Avril 2016 

§ 3 : Le MAL Et L’HISTOIRE HUMAINE.

L’EVOLUTION EN CAUSE. 
Un tel Primate. Dans un endroit d’Afrique, d’Asie, ou d’Amérique, il y a des millions d’années, au moins 500, (on a retrouvé des traces de sandales fossilisées, des objets, et même un squelette attestant cette marge de période, (lien : http://www.epochtimes.fr/front/8/4/1/n3499931.htm ) une « espèce » de singe se dresse sur ses pattes arrières pour chercher le lion. Peu à peu il en retire le goût de la position debout, car il peut avancer tout en surveillant le dit lion, et en plus il a l’impression que ça le rend plus malin que les autres qui continuent à se traîner comme des chèvres. L’intelligence se développe. L’Humain prend forme petit à petit. La Conscience Primordiale ne dirige rien, Elle observe comme Elle l’a fait avec les dinosaures qu’Elle finira par détruire ne voyant à travers eux aucune évolution possible à l’évolution de Sa propre Conscience. Par contre Elle voit dans ce primate qui évolue vertigineusement une possibilité et… Et les opinions s’enflamment. 
X. C’est faux ! Dieu a d’abord crée Adam et Eve
Y. Bon et alors, ces personnages ne sont que symboliques. Voilà les croyants rassurés, continuons. Alors Dieu va envoyer des Anges pour les uns, des Dieux pour les autres. 
X. Des anges ! 
Y. Nous ferons remarquer humblement que les Dieux sont arrivés d’abord. 
X. C’étaient des démons ! 
Y. Reconnaissez quand même que ces démons ont fait évoluer l’humanité d’une part, et ensuite tous n’étaient pas des « méchants », on vous fait grâce des exemples, et qu’ensuite ces Dieux ont préparé la venue du Vrai Dieu. 
X. C’est vrai ! 
Y. Encore heureux, merci. Mais voyons, comment Dieu a-t-il attendu tant de temps pour enfin se révéler ? 
X. Les dessins de Dieu sont impénétrables ! 
Y. Ben voyons. Quelqu’un a-t-il une autre réponse ? 
Z. Ni anges ni démons, c’étaient Des extra-terrestres ! 
Y. Des extra-terrestres sont effectivement venus, on ne voit pas comment certaines constructions un peu partout sur la planète auraient pu se faire, mais Nous faisons remarquer que d’abord Ils n’ont rien apporté de définitif quant à l’évolution de la conscience humaine, voir la dégénérescence des Indiens d’Amérique du Sud, et qu’ensuite ces extra-terrestres ne sont pas revenus pour y remédier. 
Z. Ils se cachent parmi nous ! 
Y. Ils n’ont vraiment rien d’autre à faire. 
X. Le Messie va revenir ! 
Y. Nous aussi avons vu « Rencontres du 3ème type », et « L’histoire de Notre Dame de Fatima ». Nous en resterons sur vos pieuses espérances, merci pour votre collaboration.  
Ce court dialogue sympathique montre l’ambiguïté du problème. Entre Darwin, Adam et Eve et les extra-terrestres se trouve la Tradition Primordiale et notre analyse qui, parmi tant d'autres, essaye de démêler un semblant de cohérence dans tout ce fatras de préjugés et de Connaissances. 
Continuons.
Ce Primate-Humain évolue, se socialise. Des groupes se forment, des tribus vont s’éparpiller sur tous les continents. Suivant la climatologie et la nourriture des races différentes se forment. Les uns vont noircir, les autres vont blanchir, jaunir ou se caraméliser. Il n’y en a pas de bleus, c’est dommage. 
Bref, ces groupes fondent alors des cultures, puis des civilisations. Entre temps, il semble que des extra-terrestres appelés aussi Géants (ce dont témoignent plusieurs cultures dans leurs mythologies) soient venus apporter leur science. Nous pensons que les Géants et ces mystérieux extra-terrestres s’ils ne sont pas liés biologiquement, du moins le sont-ils pré-historiquement, c’est-à-dire bien avant le Déluge « dit » Universel dont témoignent les tablettes assyriennes. Ensuite qu’il y ait eu un ou des déluges, au cours desquels des civilisations disparurent englouties par les flots ou la fureur des volcans, personne n’en doute. Dans tous les cas, après le « fameux » et dernier Déluge connu, les restes des civilisations survivantes reprirent le cours de ce qu’on appelle, l’Histoire, il y a environ plus de 12.000 ans. 
Cet Humain crée des religions. On se demande pourquoi, quelle idée saugrenue. D’abord, les mystères de la climatologie, le soleil, le firmament, les fameux éclairs qui déchirent les cieux, etc. Quand la science vient de découvrir que dans la foudre il y a des éléments porteurs de particules pouvant développer la vie, et même de l’Antimatière, ça laisse rêveur. Rappelons que si l’éclair est un attribut de Zeus-Jupiter, ce n’est pas un hasard. Fig1
L’esprit humain visualise tout un ensemble de forces et d’inconnus hors de sa portée et de sa compréhension, lui donnant alors une importance, exagérée pour nous évidemment qui croyons avoir tout découvert. Cet Humain va « visualiser » et sublimer ces inconnus, et il crée les Dieux. Dieux qui ont pu être des incarnations de la C.P+ (genre Christ : Odin, Osiris, Dionysos, Tammuz, peut-être Jésus, etc.), des extra-terrestres, ou bien des Humains relevant de l’Héroïsme ou d’une grande Sagesse. 
Ce faisant, apparaissent alors ceux qui vont interpréter les manifestations de ces Dieux une fois ces derniers ayant abandonné la place publique, parce qu'avant, ceux-là avaient intérêt à filer droit. Ensuite... on connait la suite. 
Ce point de vue darwiniste, amélioré par nos soins histoire de faire quand même un lien avec la Tradition Primordiale, est cohérent avec l’ensemble de l’évolution animale, même s’il présente "un trou", le fameux 
« chaînon manquant », et si là des chercheurs en donnent la réponse, on en reparlera car parallèlement à notre théorie "il" pourrait être l’accélération de Pouvoir du Mal Absolu. (Voir l'intervention d'Enki et Enlil en Assyrie
Dans la pratique nous avons donc l’hypothèse d’interventions extérieures ainsi qu’une intervention divine
Tout aussi bien Adam et Eve pourraient être des êtres doués de raison venant d’une autre planète, sous la responsabilité de Dieux (les 7 Elohim hébreux), Fig2 que les docteurs de l’Eglise rebaptisèrent. 
De toute manière, qu’il s’agisse d’Evolutionnisme, d’Extra-terrestres ou de Créationnisme ou mélange des 3, cela ne change en rien quant à la Nature de "Dieu", ni celle du Mal Absolu.
Fig1
Fig2

























Fig2: http://www.vopus.org/es/diccionarios/diccionario-gnostico/elohim-hebr..html 










LA PROGRESSION DU MAL ABSOLU. 
fig3

La Gnose parle de la Genèse, et son Démiurge, (non celui, fig3, de l’interprétation néo-platonicienne. Nous l’avons mis pour faire joli.) est une vision mythique de l’A-C.P. en tant que créatrice du Monde Visible et de l’Humain, alors que l’autre Dieu, plein de bonté celui-ci, est chargé de nous sauver (On se demande pourquoi Il se donnerait cette peine s’Il n’a rien à voir dans notre création, mais bon, passons). Cette interprétation de la Genèse de la part de la Gnose Nous a intéressé dès le début, car par rapport à notre thèse elle invertit les rôles et les intentions des 2 Entités contraires originelles : C.P+. et A-C.P. 
L’Ancien Testament montre un Dieu « Jaloux » qui devient « Bon » grâce à Job, et le Nouveau Testament montre un « Dieu Bon » qui se laisse trahir par ses intermédiaires. Et les 2 Livres de la Bible s’empêtrent dans des contradictions effarantes et des pirouettes dialectico-mystiques afin de ne pas reconnaitre le principe du Mal comme Entité Originelle, comme par peur, comme si ce principe était une vérité absolument maudite face à laquelle ils ne savent donner UNE réponse cohérente. 
Nous disons que cet aveuglement, ce manque de sincérité qui dure depuis des millénaires n’a fait que porter préjudice à la Connaissance, et ceci au bénéfice du Mal Absolu. Nous avons la chance qu’enfin la Science et la Tradition puissent de concert resituer une place cohérente à ce « Démiurge » dans l’élaboration de la Création. 
De toute manière une chose est claire, « Dieu » ne peut empêcher l’intervention du Mal Absolu qui va profiter de Ses « erreurs » pour s’infiltrer dans la Conscience humaine par les « Doutes » qu’éprouvent l’Humain, puis dans l'esprit, attaquant le cerveau afin d’assurer Son influence. 
Considérer ces « erreurs » toute relatives ? Non, hélas. 

L’ANTIQUITE. 
D’après la Bible dans les chapitres 6 à 9 du livre de La Genèse, Dieu observe la méchanceté et la perversité des hommes, et décide de faire tomber un Déluge sur la terre pour y détruire toute vie, «depuis l'homme, jusqu'aux bestiaux, aux bestioles et oiseaux du ciel». 
Un homme, Noé, trouve toutefois grâce aux yeux de Dieu, etc., etc. 
Sodome est, avec Gomorrhe, détruite par le soufre et le feu, victime de la colère divine, soit en répression des vues sodomites des habitants sur 2 Anges, soit parce qu'on y maltraitait les étrangers (non-respect des lois de l'hospitalité) et les pauvres (non-respect des lois de la charité.) 
Histoire de Philémon et Baucis, où Zeus envoie aussi un Déluge pour punir les hommes inhospitaliers. (Les Métamorphoses d'Ovide). 
Retenons cette méchanceté et perversité des hommes qui justifieront une punition divine. Comme quoi Dieu n’est pas parfait et ne peut empêcher le Mal Absolu de lui mettre des bâtons dans les roues, et c’est nous qui trinquons. Nous avons l’impression d’être des cobayes, mais bon, la Création "semble" suffisamment justifiée pour devoir "oublier" les "erreurs" de ce Dieu si controversé. 
Commentaire. 
Il y avait donc autour de l’ancien bassin méditerranéen des règles morales qui 2016 ans plus tard après le message du Christ se sont laïcisés en un humanitarisme souvent douteux et trop souvent de pure convenance. C’était tout à l’honneur du monde Antique, mais que nous dit-on des tribus exterminées par les israélites parce qu’elles étaient ennemies de leur Dieu ? Le fanatisme monothéiste venait de commencer. 
Dans la Grèce Antique La destruction d'une ville grecque ne se fit jamais au nom d’un tel ou tel Dieu, sinon par Volonté de Puissance (c’est-à-dire quand même sous l’influence du Mal Absolu). 
Parler au nom de Dieu pour justifier des actes de même calibre que ceux inspirés par le Mal Absolu ne suppose en aucun cas la Responsabilité de Dieu, sinon celle de son interprétation? Mais alors, même Si Nous ne voulons pas que ce Dieu soit cruel, Il est donc incompétent vis-à-vis du Mal Absolu. Hélas, cette incompétence de Dieu va se refléter tout au long de l’Histoire dans une évolution violente de la Conscience humaine afin de renforcer le Pouvoir de Dieu face au Mal Absolu
Et de cette incompétence (non reconnue évidemment par l’Eglise, qui la dissimule en la remplaçant par la Faute Originelle d’Adam et Eve) qui oblige la Conscience humaine à une progression, lente, difficile et douloureuse, l’Eglise en est parfaitement consciente et lui sert de prétexte pour consolider son pouvoir sur le commun des mortels et les élites de pouvoir. 
Nous répétons notre analyse : Dieu fut pris à son propre piège, et cela n’enlève en rien au bien-fondé de notre création, d’où la nécessité d’une prise de Conscience de cette réalité, obligeant l’Humain à l’assumer et à la corriger par une appréhension volontariste de la réalité Divine, et non par une mortification douloureuse comme le propose l’Eglise. La différence est de taille. Ce commentaire vient à point pour ce qui va suivre. 

LES SACRIFIES. 
« Lydwine, (Fig1) comme tant d’autres personnages de l’hagiographie chrétienne assume le rôle d’abcès de fixation de la malignité humaine, que l’ire divine pousse à l’incandescence de la douleur. » C.L.Combet. Préface pour : Ste. Lydwine de Schiedam. / J.K. Huysmans. Entre le 14ème et le 15ème siècle, l’Europe entière est à feux et à sang déchirée par l’ambition d’une légion de sinistres roitelets, l’Eglise est à l’agonie avec jusqu’à 3 pontifes qui s’entre-dévorent en même temps qu’elle doit combattre des hérésies de fou-furieux qui annoncent déjà les prémisses de la Réforme. Le peuple est complètement insécurisé dans ses labeurs, écartelé entre les guerres provinciales, la Peste Noire, la Rage de Tête (méningite), etc. 
C’est alors que resurgit dans l’Histoire un principe d’ordre divin que l’Eglise ne peut enrayer, mais qu’Elle se félicite de toujours récupérer par la suite. 
En effet, l’humanité menaçant de basculer totalement, Dieu va rétablir l’équilibre dans la Psyché collective en donnant en pâture au Mal Absolu des créatures qui vont supporter les pires souffrances, les récompensant par des illuminations, des révélations et des miracles. L’Eglise l’interprète comme rédemption des péchés de l’Humanité. Cette offre de "sacrifiés" qui tend à rétablir l’équilibre entre les 2 Forces Contraires en présence, dérange, car à la suite de la Passion du Christ, (récupérée ainsi que le sacrifice de Lydwine) elle met en évidence l’incompétence des Autorités religieuses et les défaillances de la mission évangélique auprès des brebis égarées. 
J.K.Huysmans appelle cette arithmétique : loi de victimalité. Nous préférons parler de « Loi de Compensation », et cette Loi n’a rien à voir avec les récompenses dont vont bénéficier ces "sacrifiés" qui seront élevés à la Sainteté, sinon avec un rééquilibrage (Fig.2) d’influence entre Dieu et le Mal Absolu. Ce don de souffrance humaine que fait Celui-ci à Celui-là, est une compensation, l’équivalent à un Rachat, autrement dit à une Rédemption, ce qui permet à Dieu en contrepartie de récupérer (sauver) des âmes en état de péché. De la même manière, par le sacrifice de Jésus Dieu avait en l’an 33 "racheté l’Homme de l’esclavage du mal et du péché", afin de Lui rendre sa liberté. Tu parles ! 


Fig1 : Sainte Liduina-Lydia de Schiedam. 18-03-1380/14-04-1433. Un des plus formidables exemples de sainteté relevant de la Loi de Compensation. Dans le 1er chapitre du livre dédié à la Sainte, J.K. Huysmans peint d’une manière implacable cette époque. 
Lien : http://www.huysmans.org/fr/ebooksf.htm 
Thomas à Kempis, né lui aussi en 1380 consacre un livre à Liduina (Lydia), disponible en anglais. Lien : http://archive.org/details/schiedamvirgin00kempuoft 
La traduction en français sera bientôt disponible sur ce Blog.



Fig2 : «L’image des plateaux de la balance et du fléau qui s’inclinent tantôt du côté du Bien tantôt du côté du Mal, revient à maintes reprises dans Sainte Lydwine de Schiedam. C’est comme l’application d’une arithmétique, d’une physique ou d’une économie du surnaturel.» C.L. Combet.



Ce principe de rachat Nous met en alerte et nous force à lui donner un sens, car la Bible n’explique ni pourquoi ni comment l’Humain est la propriété du Mal (*). Une hypocrisie de plus. Bien, rentrons alors dans ce jeu macabre. 

(*) Les Gnostiques du 2ème siècle si, l’expliquent, puisque c’est le Démiurge, un Dieu mauvais qui a créé le Monde. Et l’Eglise par le Rachat des péchés soutient, même sans le reconnaître, cette même théorie. Mais les Gnostiques eurent l’imprudence de dévoiler la Dualité divine, tout en donnant un rôle secondaire, donc mineur, au Dieu « supposé Bon ». C'est pour cette « vérité inversée » qu'Ils furent persécutés et supplantés par l’Eglise de Rome.
Certes, Dieu est humanitaire, Il va nous racheter au méchant Démiurge, nous l’en remercions, mais le sacrifice de Jésus, et de ces « sacrifiés », nous pose vraiment comme les cobayes conscientisés de la Création. Et c’est exact, nous le sommes, et on comprend alors tout le sens de ces sacrifices compensatoires afin de satisfaire l’appétit du Mal Absolu

C’est-à-dire que, selon le principe mécanique (et non plus théologique) de ce sacrifice compensatoire, les décharges d’énergie Contraire de l’A-C.P. (Que la C.P+ ne peut empêcher) vont être dévoyées (car au moins cela Elle le peut) sur un sacrifié en particulier afin de soulager, protéger et « sauver » d’autres Humains. C’est ce que font les Gauchos de la Pampa qui pour faire traverser à leur troupeau une rivière remplie de piranhas, poussent d’abord un bovin dans l’eau, et pendant que les piranhas s’empiffrent d’un côté, le troupeau traverse à une distance prudente. 
Et si on regarde de près l’histoire humaine on découvre un principe similaire, celui du « Bouc émissaire », sauf que dans la Loi de Compensation c’est Dieu (ou un Ange) qui en prend l’initiative et soutient la tête du « sacrifié  volontaire », le console et le « sauve », et non des prêtres illuminés qui arrachent le coeur à l’infortuné sur un autel au sommet d’une pyramide. Cherchez la différence. 
Commentaire. 
Faut-il croire à l’efficacité du sacrifice compensatoire? Question cruelle, c’est le cas de le dire. Même si c’est tout à l’honneur du Christianisme d’avoir mis fin aux sacrifices humains en Mésoamérique et en Europe, dans les 2 cas, la chrétienté et le paganisme, il y a une même cause. 
Pourtant à l’image et exemple du Christ les premiers chrétiens ne vont pas hésiter à se laisser occire pacifiquement pour leur Dieu. Des martyrs vont jalonner l’Europe l’Afrique et l’Asie. Durant des siècles Saintes et Saints vont souffrir, parfois horriblement jusqu’à la mort, pour racheter l’Humain des griffes du Mal, comme si le sacrifice du Christ n’avait pas suffi. Et bien non, cela n’a pas suffi, car le message d’Amour christique est bien trop dérangeant pour le Mal, et il faut que sans cesse le Doute de savoir qui de Dieu ou du Diable est le Maître du Monde hante la psyché humaine. 
Ces martyrs se sacrifieront pour écarter le Mal et sa mangeoire colossale dans l’espoir d’une évangélisation générale permettant le retour du Christ. Peine perdue. Quand Saintes et Saints vont finir par manquer, à cause de la Réforme puis des idées Libérales et Laïques, alors vont commencer les grandes tueries, les grands massacres, dont la Révolution Française marquera le départ. Curieuse alternative, n’est-ce-pas ? Le responsable ? Une Eglise mensongère et corrompue, qui par derrière, dans chaque camp opposé, va bénir et bêtifier à qui mieux mieux. 
Mais une autre leçon à retenir de ce principe d’Ordre Divin qu’est la Loi de Compensation, réside dans son implantation sur l’esprit, dans la psychologie humaine. En effet, à partir du moment où un individu ou un groupe humain va intimer cette Loi, tant au niveau personnel que collectif, il comprendra pourquoi son existence est « partagée » entre le Bien et le Mal, comme entre des moments heureux et d’autres moins, car il y a toujours par phénomène vibratoire une alternance entre équilibre et déséquilibre, et pour chaque plateau de la balance. Le problème réside alors dans la gérance des rythmes et leur intensité. 
Mais attention, comprendre cette Loi ne veut pas dire la provoquer, car comme le fait remarquer René Girard : "La valorisation des victimes, en même temps qu’elle manifeste le progrès de la conscience morale prend la forme d’une compétition victimaire faisant peser la menace d’une escalade de violence"
Et c’est ce que nous voyons aujourd’hui se développer dans le monde musulman, qui est en train de subir ce que les chrétiens ont subi quelques siècles plus tôt. Donc, point de « rachat », point de sacrifice, point de martyrs, sinon des êtres humains avant tout conscients du Danger, et ensuite décidés à lutter contre le Mal. Et lui tendre l’autre joue ? Certainement pas. 
Note : Notre théorie sur la Loi de Compensation fut élaborée en réponse à la position de l’Eglise sur le principe du rachat des péchés, position qui Nous semble outrancière vis-à-vis de la dignité humaine et du message même du Christ, et surtout à la suite de la lecture de la vie de Sainte Lydwine de Schiedam.  Révisé
Son calvaire va durer 38 ans, alitée et en en prise à toutes les maladies de son époque, dans des conditions de souffrances incroyables. Pour les détails de sa vie Nous vous en remettons à nos références situées plus haut. Lydwine Peters n’a pas volée son élévation à la sainteté, loin de là. 
Mais ce qui Nous choqua le plus fut sa détermination à souffrir d’avantage pour sauver des âmes en perdition, convaincue seulement par les résultats qui lui étaient garantis par ses visites aux Enfers, guidée par son Ange Gardien. Présence de cet Ange Gardien dont furent témoins les proches de Lydwine
En ce qui Nous concerne une explication dite « rationnelle » est impossible.
Délires, hallucinations ? Dans tous les cas, ceci était admirablement orchestré, et cela Nous semble impossible de la part de cette jeune fille illettrée et qui plus est, dans ses conditions physiques. 
Manipulée par un de ses confesseurs ? A part Maitre André, le deuxième, qui croyait Lydwine trompée par le Démon, les 3 autres étaient de braves garçons incapables d’hypnotisme. 
Autre possibilité, les rédacteurs de la vie de Lydwine. Le plus important fut Thomas à Kempis, qui après la mort de Lydwine se déplaça à Schiedam, compulsa les notes de J. Gerlac qui vécut chez Lydwine, ainsi que la "Vita" que Brugman, un prêtre lettré rédigea à partir des notes de Gerlac et de témoignages directs. T. à Kempis, l’auteur des « Imitations », se fit fort d'interroger lui aussi tous les témoins possibles et les Autorités de Schiedam, car il n’était pas du tout disposé à laisser son nom s’entacher par un récit d’extravagances dénuées de fondement. Il ressort que ce fut Lydwine qui racontait ce qu’Elle voyait et vivait dans ses « visions », et personne d’autre. 
Donc, force est de revenir à Lydwine même, convaincue de sa mission rédemptrice avec acharnement et dévotion, donnant des détails dantesques et magnifiques sur Enfer et Paradis, détails qui étonnaient les prélats même qui l’écoutaient. Nous avons analysé ces détails avec attention, certains nous semblent naïfs, bien propres à une jeune fille de cette époque, mais d’autres détails, ainsi que la dynamique de ses récits, sont troublants. 
Qui donc alors Lui passait le film ? Qui donc, sinon ce curieux Ange, qui incendiait sa chambre selon les témoignages directs, qu’Elle voyait alors qu’Elle était pratiquement aveugle, et Qui disparaissait avec l’incendie dès qu’on ouvrait la porte de sa chambre ? Il y a donc là, la volonté manifeste d’un agent extérieur à halluciner Lydwine, et à l’aider dans sa mission rédemptrice de sauvetage des âmes qu’Elle voulait racheter
A cette raison de démence il fallait répondre. 
Notre réponse fut au départ exclusivement d’ordre métaphysique, ce n’est que par la suite, cherchant des liens sur le Net sur la Loi de Compensation, et entre autres celui-ci-après, que Nous avons conforté notre argumentation, bien que Nous l’avions d’ailleurs déjà orientée dans le domaine de la physique après notre étude sur la Nature de « Dieu ».  
http://www.claire-lumiere.com/t1616-les-lois-spirituelles-3-la-loi-de-compensation 
Ce Lien est intéressant car il mentionne l’Anti-Univers du camarade Andreï Dmitrievitch Sakharov. 
La différence entre la position des auteurs du blog (qui met en avant le Karma des individus) et la nôtre, est que Nous appliquons cette Loi karmique à Dieu lui-même face au Mal Absolu, considérant, et ceci dès le départ de notre sujet, que l’Humain et Dieu sont le reflet l’un de l’autre. (Chacun à son échelle et qualités particulières, mais reflet quand même). 
Mais notre analyse va encore plus loin, car à la suite de notre étude sur le Monde Moderne Nous sommes obligés de dire que le Mal Absolu Lui-même prend l’initiative de la Loi de Compensation. Révisé.

LE MONDE MODERNE. 
« Vendre son âme au Diable » est apparu au Moyen-âge dans la foulée des persécutions contre la sorcellerie pour ensuite revenir à l’époque moderne dans une fantaisie romanesque. Mais le fait est que L’âme humaine, partie de la C.P+, Lui retourne après la mort physique. La nature destructrice du Mal Absolu n’aura perverti qu’un esprit humain, satisfaisant alors son Ego de Négation et retardant ainsi l’évolution de la C.P+ puis de la C.P.Dieu ») vers une Connaissance Totale de sa Création. Le problème devient grave quand l’influence du Mal s’étend en progression géométrique sur des groupes humains. Dans les causes du Mal, analysant la 5ème cause, la Volonté de Puissance, et la 6ème, le Mal par Plaisir, nous avons déjà un portait surréaliste de l’intervention du Mal Absolu dans le monde moderne du XX et XXIème siècle, les siècles précédents n’étant que l’antichambre de l’horreur qui allait s’amplifier et se « démocratiser ». 
« Vendre son âme au Diable », ressurgit donc au XIXème siècle avec le « Faust » de Goethe et prend son essor dès le début du XXème siècle dans le cinéma avec l’expressionnisme allemand, (Faust, Mabuse*, Metropolis), mais avant tout avec la politique où la Finance Internationale sera la clef de voûte d’une sinistre cathédrale du Mal Absolu, le stalinisme et le nazisme étant le choeur et l’autel des sacrifices. On vous laisse imaginer qui officiait. 
(*) Fritz Lang, directeur des "Dr Mabuse", et de Metropolis, est considéré comme cinéaste démiurge. 
Mais avant que tout n’éclate en 1914 il s’est mené une lutte bien étrange au niveau du psychisme humain à la recherche d’une vérité transcendantale entre l’Humain et la Création. 

Fin 19ème Siècle. 
Nous sortons de la guerre franco-allemande, des massacres de la Commune de Paris, la bourgeoisie triomphante se contemple le nombril, le romantisme et les arts remettent en question le classicisme des sentiments et de la morale. Des penseurs, géniaux, vont retourner le couteau dans la plaie.
Ernest Renan (1823-1892), pour qui  la biographie de Jésus doit être comprise comme celle de n'importe quel autre homme, et La Bible comme devant être soumise à un examen critique comme n'importe quel autre document historique. Ceci déclenche des débats passionnés et la colère de l'Église catholique. 
Friedrich Wilhelm Nietzsche (1844-1900) assène un coup grave au christianisme en écrivant entre autres : L’Antéchrist et Ecce Homo. « Dieu est mort ! Dieu reste mort ! Et c'est nous qui l'avons tué ! Ne sommes-nous pas forcés de devenir nous-mêmes des dieux simplement — ne fût-ce que pour paraître dignes d'eux ? ». Quant à sa Volonté de Puissance, c’est l’Intérieure, et portée au-delà du « soi ». Les nazis récupérèrent la philosophie de Nietzsche en la trafiquant quelque peu. Ce que fit l’Eglise avec les Evangiles
Comme quoi il suffit de peu pour passer de l’authentique au mensonge. 
Martin Heidegger (1889-1976) remet en question toute la métaphysique occidentale comme la philosophie en défendant les présocratiques* et leur vision de « l’être » initial, et donne alors une redéfinition de l’être par rapport à l’essence du Monde. La destinée de l’Humain se retrouve d’abord dans ce qui est, puis dans ce qu’Il est avant de ce qu’Il veut. Le conflit de ces perceptions face à la Réalité-Vérité justifie le drame de son existence. 
(*) Les présocratiques sont considérés comme des Témoins de la Tradition Primordiale
Commentaire. 
L’ère industrielle et les sciences modernes avaient fait leur apparition, le doute sur la destinée humaine s’installait en même temps que des espoirs fous. Les hésitations et contradictions de Rome ajoutèrent à la confusion, et permit aux Socialismes, Communisme et Anarchisme, d’apparaître alors comme substituts eschatologiques du Christianisme. 

Début 20ème Siècle. 
En réponse à ces coups de boutoir philosophiques et incertitudes métaphysiques des contre-feux apparaissent, mais non venant de Rome, (de là il n’y a rien à espérer) sinon d’esprits inquiets du Devenir humain. 
Le spiritisme fondé par Alan Kardec (1804-1869) se fait connaitre à Paris dès 1857, et met en lumière le principe de l’esprit désincarné avec qui on peut communiquer à travers des « médiums ». On évoque des esprits, on fait tourner des tables, c’est amusant. Mais en fait ces braves gens alimentent les champs morphiques (voir 1ère Partie), et pas nécessairement dans la bonne direction. 
Il est à noter à ce sujet que les grands dirigeants de l’époque, Staline, Churchill, Hitler, et bien d'autres, se mirent au diapason de la nouvelle mode et demandaient conseil à des spirites ou des mages. 
La psychanalyse s’élabore fin 19ème siècle et prend son essor au 20ème avec Sigmund Freud (1856-1939). Pour lui les dérèglements de l’esprit (appelé l’âme laïque) sont le résultat de contradictions qui découlent notamment des dualismes pulsionnels. Ces contradictions vont au-delà de la "raison" "Le moi n'est pas maître dans sa propre maison". Et Freud avec « sa » métapsychologie se penche sur l’instinct de plaisir comme sur l’instinct de mort. Dans notre optique, l’intérêt de ces études freudiennes est de mettre en relief les symptômes du conflit majeur que nous avons évoqué plus haut, à savoir « le Doute », que Nous situons sur la Conscience attaquée alors par le Mal Absolu et qui va s’ancrer dans le cerveau, provoquant disfonctionnements et lésions parfois incurables. Si Freud dissèque le problème, en étudie les mécanismes, C.G. Jung va en donner en partie les causes.
Carl Gustav Jung (1875-1961) est l’ingénieur là où Freud est le contremaître. La différence est notable, car Jung dans ses recherches sur la psyché humaine tient compte de l’inconscient collectif, de l’anthropologie, des traditions, des mythes, de la religion, appréhendant ainsi la « réalité de l’âme ». Il revient ainsi à la notion de « l’Être » des présocratiques. Une de ses découvertes les plus intéressantes fut la mise en évidence de la Synchronicité. Jung tentera de comprendre ce phénomène en dialoguant avec Wolfgang Pauli, un physicien aux prises avec des paradoxes semblables à l'échelle subatomique, ainsi qu'en étudiant de nombreuses pratiques traditionnelles violant également le principe de causalité. 
Jung en fut critiqué mais les découvertes scientifiques postérieures, dont la Physique Quantique et les Champs Morphiques en particulier, lui donnent raison. Quant à la problématique du Mal, Jung en donne une réponse mettant en cause la Dualité (le Bien et le Mal sont inhérents à Dieu) dans son livre : Réponse à Job. « L'instabilité intérieure de Yahvé est la condition préalable non seulement de la création du monde, mais aussi du drame pléromatique (*) dont l'humanité forme comme le choeur tragique. La confrontation avec sa créature oblige le créateur à se modifier » (p. 151) « L'intention de Yahvé de devenir homme, qui a résulté de sa confrontation avec Job, s'accomplit dans la vie et la souffrance du Christ » (p. 113). La rédemption n'est pas le rachat d'une faute commise par l'homme à l'encontre de Dieu, mais la faute que Dieu a commise lui-même en se laissant prendre à son propre piège. 
Lien : http://biblio.domuni.org/articlesbible/job/job-04.htm 
(*) : http://en.wikipedia.org/wiki/Pleroma
Nous soulignons ce point de vue, car il est aussi le nôtre. A l’analyse de Jung Nous ne faisons que rajouter la Chromodynamique Quantique et ses mécanismes pratiques d’intervention sur la psyché humaine via les Champs Morphiques, et la psychologie métaphysique à partir des concepts de la C.P+, l’A-C.P. et leurs intermédiaires. 
Nous maintenons donc l’hypothèse soulignée ci-dessus, ne trouvant aucune raison à l’A-C.P. pour lui attribuer à l’origine: Le renoncement au Bien, La Volonté de Puissance (tyrannique) ou Le Mal par Plaisir, étant donné que « Dieu » en a la responsabilité « mécanique ». 
Donc, nous assistons en ce début du 20ème siècle à une redécouverte de « l’esprit » humain dans sa projection intérieure comme extérieure. Jung et Freud comme par hasard vont être alors confrontés, de concert d’abord puis séparés ensuite, à La Volonté de Puissance du Mal Absolu dans toute son horreur, comme si Celui-ci pressentant le danger d’être démasqué allait prendre les devants en utilisant le principe de la Loi de Compensation afin de rétablir l’équilibre. 
Mais dans ce conflit un autre facteur était entré en jeu sur l’échiquier, et la réaction du Mal allait prendre une ampleur inusitée dans le jeu de balance jusqu’au paroxysme d’un déséquilibre en sa faveur. 
La Cosmologie. Einstein (1879-1955) publie sa théorie de la Relativité restreinte en 1905, et une théorie de la gravitation dite Relativité Générale en 1915. Il contribue largement au développement de la Mécanique Quantique et de la Cosmologie, et reçoit le prix Nobel de physique en 1921
Mais il n’est pas le seul, citons Marcel Grossmann, Paul Dirac, Erwin Schrödinger et d’autres qui vont bouleverser la vision de l’Univers. Le Mal Absolu étant d’origine cosmique, on comprend son agitation. Les sceptiques vont sourire de cette remarque, comme la charmante Elvire de la chanson de Serge Reggiani… « Les Loups »
Lien : http://www.youtube.com/watch?v=8v77VIxElwM 

Avec toutes ces découvertes scientifiques extraordinaires et soudaines, l’Humain alors entrevoit avec « certitude et inquiétude » un Devenir qui le dépasse et qu’Il pressent hors des schémas passéistes
Mais cette inquiétude ne fut que « bagatelle pour un massacre » au regard des Nouvelles ambitions du Capitalisme qui cherchait à s’internationaliser par tous les moyens. Le prétexte va se fabriquer et se financer vite fait bien fait, par la guerre. Face à la menace de la montée de cette Finance Internationale qui n’avait rien de transcendantal, s’élevèrent 2 systèmes qui s’alimentèrent d’une psychologie exacerbée du Sacré Collectif: le Fascisme (Esprit suprême de la Nation) et le Communisme (Esprit suprême du Peuple), héritiers tous les 2 de l’Absolutisme de la Révolution Française de 1789
Pris de vertige entre l’acquisition d’une Nouvelle Connaissance et la perspective de nouveaux Pouvoirs, l’Humain redevenait une fois de plus la proie du déséquilibre et de cette sinistre Volonté de Puissance qui jalonne toute son Histoire. Le « Doute » n’était plus possible, Il fallait qu’un des 2 plateaux de la balance touche Terre, même au risque de frôler l’abîme. Et « Ainsi fut-il. Amen ! ». 
Tout cela est dans les livres d’histoire, encore faudrait-il lire entre les lignes. Et bien, malgré tout ce qu’on vient de dire, les 2 Guerres Mondiales auraient pu être évitées, si… 
Si dans l’ombre certaines forces n’avaient pas « préparé » les peuples depuis longtemps à l’avance, pour au moment propice faire basculer les cerveaux corrompus des dirigeants des grandes puissances. 
Il s’agit des Sociétés Secrètes. Ce n’est pas une question d’être obsédés par la Théorie du Complot sinon de reconnaître l’existence d'intérêts occultes qui, à travers certaines Sociétés Secrètes et des Lobbies agissent sur les gouvernements en place. Nier cette évidence est de l’aveuglement pur et simple, sinon de la stupidité. 
De fait, pour ne parler que d'elle et pas des autres, pour l'instant.... Nous ne critiquons pas le bien-fondé de la Franc-Maçonnerie dans son essence originelle, sinon les dérives et la manipulation de ses institutions de la part de groupes de pression ne recherchant que leur intérêt particulier, faisant fi de sa mission qui est la Fraternité Universelle
Et dans une perspective de Fraternité Universelle, il est bien évident qu’il faille déclarer le Système des Sociétés Secrètes ou similaires, comme criminel et hors-la-Loi. Alors… 
Citons Théodore Roosevelt qui disait dans son programme électoral de 1912 :"Derrière le gouvernement visible siège un gouvernement invisible (*) qui ne doit pas fidélité au peuple et ne se reconnaît aucune responsabilité. Anéantir ce gouvernement invisible, détruire le lien impie qui relie les affaires corrompues avec la politique, elle-même corrompue, tel est le devoir de l'homme d'Etat". (*) Nous appelons ce gouvernement invisible les « On ». 
Roosevelt avait vu le danger et ne voulait pas s’impliquer dans le massacre qu’ « On » préparait en Europe. « On » lui balança la crise de 1929 dans la figure, et il dut s’incliner. 
Citons A. Einstein : « La minorité, la classe dirigeante au moment présent, a les écoles et la presse, et en général L’Eglise aussi, sous sa coupe. Cela lui permet d’organiser et de secouer les émotions des masses, et d’en faire leurs outils. » 
Ces 2 citations ne sont pas de n’importe qui, un grand homme d’état et un grand scientifique qui, protégés par l’aura de leur célébrité ont survécu à ces petites phrases. 
Imaginez que aujourd’hui un Obama ou un Bill Gates fassent une telle bourde devant des journalistes, il leur arriverait un petit malheur discret, ou un gros malheur spectaculaire. Ce qui arriva à J.F. Kennedy

FIN DU 3ème VOLET de LA DUALITE. Révisé le 28/04/2016


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